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 Narcissa Phrene, deuxième année

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AuteurMessage
Narcissa Phrene
2ème année ~ Serdaigle
2ème année ~ Serdaigle
Narcissa Phrene


Nombre de messages : 22
Localisation : Dortoir des filles de Serdaigle
Date d'inscription : 18/08/2006

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MessageSujet: Narcissa Phrene, deuxième année   Narcissa Phrene, deuxième année EmptyMar 22 Aoû - 7:39

Nom : Phrene

Prénom : Narcissa

Surnom :

Age : 12 ans

Deuxième année d'étude

Famille :
Un frère de 9 ans. Sa mère avait étudié à Poudlard, son père à Beauxbatons. Son père est décédé.

Physique :[/b] Narcissa mesure une taille moyenne, un
mètre et cinquante-neuf centimètres environ. Elle est
relativement mince, mais si elle fait attention à ne
pas trop manger trop de sucre et de graisses, elle ne
pratique pas réellement de régime. Ses cheveux sont
noirs comme l'ében, refletant parfois la lumière en
éclats dorés. Toujours bien lisses, ils sont selon les
occasions attachés dans son dos ou laissés libres aux
caprices du vent. Sa peau relativement pâle lui
confère un grand charme. Ses lèvres supportent
maquillage rouge comme le sang. Ses robes sont longues
et fines, généralement noires ou bleues, lorsqu'elle
ne porte pas l'uniforme de Poudlard.

Caractère : Rarement timide, Narcissa supporte mal les
moqueries, même si elle s'efforce de les ignorer.
Sérieuse et appliquée, elle aime travailler et
apprendre. Elle aime également, bien sûr, s'amuser et
se détendre; un court moment à ne rien faire, pendant
la journée, est toujours le bienvenue. Elle essaie de
sourire en toutes circonstances, même si des fois,
elle oublie. Des fois, la jeune fille se sent mal et
n'est pas capable d'expliquer pourquoi; il lui arrive
également de pleurer pour des incidents sans
importance. Narcissa adore lire et résoudre des
énigmes.
Habituée à être première de la classe durant les cinq
ans de primaire qu'elle a passés en France, elle est
parfois gênée lorsqu'elle se retrouve sur un plan
d'égalité avec les autres élèves – non pas qu'elle se
sente supérieure, mais en cinq ans, des habitudes se
sont installées.

Histoire :

Daisy Pinkstone était née de parents
moldus, à York. Elle y avait vécu une enfance normale,
comme tous les enfants, mais cela changea alors
qu’elle avait dix ans : ses parents reçurent une
lettre les informant que leur enfant était douée de
capacités exceptionnelles et qu’elle pourrait intégrer
une école importante, à Londres. Ils partirent tous
trois pour un entretien, pendant les vacances de Noël.
M. et Mme Pinkstone étaient très enthousiastes,
croyant que cette convocation était due aux très bons
résultats de leur fille aux examens de littérature.
Le directeur de l’école, M. Kay, les recevait
lui-même. Les Pinkstone furent abasourdis par
l’abracadabrantesque histoire qu’ils l’entendirent
raconter à propos de magie et de sorcellerie qui
permettraient de faire des choses incroyables – le
seul mot qui sonnait juste –, ce dont Daisy aurait été
capable. Ce ne fut qu’au moment où la canne et le
chapeau melon de son père se transformèrent en un
balai et un couvre-chef fripé et pointu que la jeune
fille comprit qu’il ne s’agissait pas d’un énorme
canular.
Daisy fêta sa onzième année quelques jours plus tard.
Elle reçu une magnifique robe de soirée et ... une
lettre écrite à l’encre verte. La célèbre lettre de
Poudlard, l’école des sorciers. Tout le matériel
nécessaire pour l’année scolaire à venir y était
consigné. Il y avait également des explications pour
parvenir au chemin de traverse – ses parents avaient
clairement fait comprendre au directeur qu’ils ne
faisaient pas assez confiance à des gens qui s’en
prennent aux chapeaux des gentlemen pour leur confier
leur enfant une journée, même s’ils avaient accepté
l’inscription de Daisy à Poudlard.
Son père eu quelque mal à actionner les briques
magiques dans le bar qui servait de transition entre
le monde des moldus et celui des sorciers, mais après
cela la jeune fille pu s’émerveiller devant les
innombrables boutiques : apothicairerie Tock & Fils,
prêt-à-porter pour mages et sorciers Mme Guipure,
librairie Fleury & Bott, ... Elle fut ravie en
achetant ses robes de sorcière, qui lui plaisaient
beaucoup plus que les minijupes de l’uniforme de son
collège à York.
Dans l’animalerie, on lui demanda de choisir entre un
crapaud, un hibou et un chat. Son père lui interdit
formellement le premier et lui conseilla le félin.
Mais aucun ne plaisait à la jeune fille. Son choix se
porta finalement sur un oiseau aux plumes noires – un
Augurey. Le vendeur lui rappela qu’il n’était pas dans
la liste, mais il ne su pas résister au regard
faussement triste et candide que lui lança la petite.
Son père soupira : elle était incorrigible.
Ils entrèrent ensuite dans le magasin d’Ollivander. Le
vieil homme lui fit essayer de nombreuses baguettes,
chacune contenant un objet particulier : plume de
phénix, cheveu de Vélane, moisissure de Bandimon,
écaille d’Opalœil, queue de Focifère, ... Toutes
firent des ravages sur les étagères de la boutique.
Enfin, Ollivander lui fit essayer des baguettes au
crin de cheval ailé : celle à l’Abraxan refusa de la
laisser la toucher, celle au Thestral devint invisible
à son contact, celle au Gronian s’échappa si vite
qu’elle le perdit de vue, et enfin la baguette au crin
d’Ethonan lui convint – au grand soulagement de son
père qui poussa un soupir.
La journée se termina par l’achat des livres et d’un
chaudron, puis ils rentrèrent à York.

Les cours reprirent et les parents de Daisy purent
constater un chute de ses notes ; depuis qu’elle était
inscrite à Poudlard, la jeune fille passait plus de
temps à monologuer avec son Augurey qu’à réviser ses
cours. Un soir, l’oiseau poussa un cri strident,
constitué d’une série de notes basses lancées avec un
lent vibrato. Plus tard, dans la mythique bibliothèque
de l’école de sorcellerie, elle découvrirait que ce
cri annonçait la pluie ; elle baptiserai alors son
compagnon Imber – étant littéraire, elle avait appris
le latin.

L’année scolaire se termina, les vacances passèrent et
la rentrée des classes fut enfin là. Daisy se tint
très calme dans le train, frissonna quelque peu quand
elle dû monter dans une barque sur l’ordre du gardien
des clefs, et alla s’asseoir dignement sur la chaise
du choixpeau magique. Elle n’avait pas compris comment
était décidée la répartition dans les maisons, aussi
fut-elle fort paniquée lorsque la coiffe se mit à
remuer et qu’une voix enrouée provenant de sa propre
tête annonça qu’elle avait tout d’une Serdaigle.
Durant l’année, elle contribua largement à obtenir des
points pour sa maison ; des sept ans qu’elle passa à
Poudlard, qui lui rapportèrent notamment onze Brevets
Universels de Sorcellerie Élémentaire – dix « Optimal
» et un « Effort Exceptionnel » – et autant
d’A.S.P.I.C., Serdaigle obtint cinq fois la Coupe des
Quatre Maisons.

Le jour de la sixième rentrée de Daisy, son école
participa au Tournoi des Trois Sorciers. M. Kay
en expliqua le principe :
– Il s’agit d’un tournoi auquel participeront trois
écoles de sorcellerie. Le but en est de rapprocher les
jeunes mages de pays étrangers. Cette année, les trois
écoles qui participeront au tournoi sont l’Institut
des Sorcières de Salem, l’Académie de Magie
Beauxbâtons et bien entendu, Poudlard. Cette
compétition ayant lieu dans l’enceinte de Beauxbâtons,
nous allons devoir nous déplacer et passer l’année en
France. Nous partons demain, aussi vous demanderais-je
de ne pas défaire vos valises et de vous lever à
l’aube. Quand à aujourd’hui, je n’ai qu’une chose à
dire : que le banquet commence !
Le lendemain, tous les élèves de troisième année ou
plus et quelques professeurs étaient remontés dans le
Poudlard Express. Il s’enfonça dans le tunnel
habituellement réservé à l’Eurostar et rejoignit la
côté méditerranéenne. Près de la côte se dressait
l’Académie française. Durant toute l’année, les
britanniques furent condamnés à dormir dans le train,
tandis que les étudiants des Etats-Unis séjournaient
dans un avion.
La directrice des Français expliqua que les candidats
de chaque école devaient placer leur nom dans la Coupe
de Feu, qui choisirait trois champions. Elle précisa
également qu’il était inutile aux élèves de moins de
dix-sept ans d’essayer d’approcher la coupe. Quelques
jours plus tard, trois papiers quelque peu brûlés en
sortirent dans une gerbe de flammes ; les trois
directeurs lurent les noms de leurs champions. L’élu
de Grande-Bretagne était bien évidemment un
Griffondor, qui fut acclamer par son école et plus
encore par sa maison.
La première épreuve constituait, pour chacun des trois
élèves, en un affrontement avec un cheval ailé, à qui
l’on devait voler le médaillon qui pendait à son cou.
L’Américain réussit tant bien que mal à assommer un
Abraxan relativement fougueux à coups d’Incendio, le
Français eu l’ingéniosité d’utiliser un balai pour
rattraper un Gronian particulièrement rapide, et
l’élève de Griffondor à un sort de Lumos très bien
maîtrisé pour rendre visible un Thestral.
Un professeur expliqua que les médaillons pouvaient
indiquer la deuxième épreuve. Pendant quelques mois,
le principal sujet de discussion des élèves en fut
donc l’ouverture. Le premier à résoudre l’énigme fut
le champion de Salem, qui ouvrit l’objet lors d’un
repas, sans que l’on sache comment. A force de
discussion, on conclut qu’il fallait verser de
l’huile, ou toute autre matière grasse, dessus. Les
trois sorciers furent donc mis au courant de la
fameuse épreuve : il fallait sauver des élèves,
prisonniers d’un nid d’araignées. L’épreuve se
déroulant loin des élèves, pour réduire le danger, on
ne su comment les champions triomphèrent ; mais l’on a
vu le français sortir de la forêt avant l’Américain,
le Britannique étant dernier. Tous étaient blessés et
passèrent de longues journées à l’infirmerie.
Peu avant l’épreuve finale eu lieu un bal. Daisy,
récemment tombée amoureuse de Gérard Phrêne, un élève
de Beauxbâtons, fut sa cavalière. Ils passèrent une
soirée inoubliable, qui se termina par un baiser au
clair de lune.
Enfin arriva la troisième épreuve. On dressa un
immense labyrinthe d’où il fallait rapporter un
trophée placé en son centre. Les trois candidats
rentrèrent dedans dans l’ordre où ils étaient sortis
de la forêt. Une nuit entière s’écoula, et enfin le
champion français se matérialisa devant les yeux
ébahis de la foule qui n’y croyait plus, une coupe à
la main. On l’applaudit.
Les britanniques rentrèrent à Poudlard, dépités pour
la plupart ; mais Daisy faisait exception à la règle,
car pour elle la seule chose qui comptait, c’était
Gérard.

A son retour chez les moldus, Mlle Pinkstone déménagea
en France, moins parce qu’elle se passionnait depuis
toujours pour sa littérature que pour y retrouver son
soupirant. Il s’aimèrent d’un tendre et doux amour et
eurent deux enfants, Narcissa et huit ans plus tard,
Guillaume.

Narcissa, héritant de ses deux parents, aimait autant
la littérature que la science. Ces deux passions se
complétaient à merveille car comme le disait son père,
« Un mathématicien qui n’a pas quelque chose d’un
poète ne sera jamais un mathématicien complet. ».

A sept ans, la petite fille écrivit un livre, « Les
premiers pas d’une magicienne », très largement
inspiré des récits de sa mère, et il fut publié chez
les moldus en tant que fiction, voire conte de fée,
réputé pour son humour.

Aux neuf ans de sa fille, Gérard Phrêne mourut d’une
crise cardiaque. Sa femme décida donc de retourner
vivre e Angleterre avec les deux enfants. Ils
s’installèrent à Londres même, sur Oxford Street.

A dix ans, elle reçut la traditionnelle lettre de
Poudlard. Elle se rendit avec sa mère sur le Chemin de
Traverse. Tout comme cette dernière, elle ne suivit
pas les recommandations pour l’animal de compagnie et
choisit un Jobarbille bleu tacheté. Les deux femmes
entrèrent ensuite chez Ollivander. Il dévisagea un
instant Daisy.
– Je me souviens de vous ... ce que vous avez changée
! Vous venez pour la demoiselle ? Votre fille, sans
doutes. Je crois qu’il serait préférable de commencer
avec les baguettes au crin de cheval ailé.
La mère et sa fille éclatèrent d’un rire sincère. On
commença donc par une baguette au crin d’Ethonan. Une
gerbe d’étincelles inoffensives mais d’une magnifique
gamme de couleurs en fusa. Vinrent ensuite les
baguettes à l’Abraxan et au Gronian, qui se
comportèrent comme avec Daisy. Le Thestral, enfin,
s’adapta parfaitement à la paume de la petite
sorcière.
Avant d’acheter un chaudron, la jeune fille demanda à
sa mère si elle ne pouvait pas prendre le sien.
– Oh, répondit Mme Pinkstone en riant, j’ai passé trop
de temps avec lui pour m’en séparer ! Je crois que je
n’arriverais même pas à faire une soupe dans une autre
marmite.
Les deux femmes rentrèrent enfin à Oxford Street,
lourdement chargées.

Narcissa eu onze ans en juin, et se rendit en
septembre à la gare de King’s Cross, et sa mère la
laissa sur le quai dix en lui donnant une dernière
recommandation.
– N’oublie pas : vérifie que personne ne te regarde,
fonce vers cette barrière et ferme les yeux ! Tout se
passera bien.
La nouvelle étudiante se tenait maintenant face à
ladite barrière. Elle lança un furtif regard à droite
et à gauche, inspira un grand coup et se mit à courir
en poussant son chariot. Elle ne ferma pas les yeux.
Elle eu l’impression de traverser un long couloir
sombre, puis la lumière revint violemment. Elle avisa
un panneau : dessus était inscrit, en grosses lettres
noires, « Quai 9 ¾ ».

Le train était là. Il y avait d’autres élèves, pour la
plupart accompagnés de leurs parents. Une mère
remarqua Narcissa, qui portait encore l’uniforme de
son ancien collège, et s’approcha d’elle.
– Bonjour. Je suis Mme White. Voici ma fille, Alice
White.
– Enchantée, répondit Narcissa, sans comprendre.
– Pourriez-vous vous occuper de ma fille ? Je veux
dire, vérifier qu’elle sort bien du train à l’arrivée,
qu’elle n’oublie pas de mettre sa robe de sorcière,
... Qu’il ne lui arrive rien.
La jeune fille hésita un instant.
– Euh ... oui. Oui, bien sûr.
– Oh, c’est si aimable à vous ! Bon, je pense que vous
devriez monter, avant que le train ne parte.

Les deux filles s’installèrent dans un même
compartiment. Alice s’excusa :
– Ma mère s’inquiète toujours quand elle doit me
laisser seule. Tu veux des dragées surprises ?
ajouta-t-elle en sortant un sac au nom de Bertie
Crochue.
– Non, merci. Je préfère les chaudrons en sucre et les
patacitrouilles. Tiens, prends-en un.
Les nouvelles amies s’entendirent à merveille. Aussi
leur sembla-t-il normal d’emprunter la même barque
pour la traversée du lac.
Vint ensuite la cérémonie de répartition. La moitié
des élèves étaient déjà passés lorsque l’on l’appela :

– Narcissa Gerard Phrene !
Elle se leva dignement et alla s’asseoir devant les
autres élèves ; on plaça sur sa tête le choixpeau
magique. Elle fut la seule à entendre ce qu’il
marmonna tout d’abord :
– Je reconnais bien la fille de Daisy Pinkstone.
Voyons voir, quelle maison te conviendrait le mieux ?
Contrairement à ce que semblait indique l’expression
calme et sereine de son visage, la jeune fille avait
le trac. Elle eu beau rester impassible, la panique
s’était emparée d’elle. Et si, malgré sa grande
sagesse, le choixpeau se trompait ? S’il ne
choisissait pas la bonne maison ?

Signe particulier : Parle parfaitement l'anglais et le
français, sans laisser transparaître le moindre accent
dans chacune de ces deux langues.

Animal de compagnie : un Jobarbille
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