Takehiko sursauta quand le beaubatonien s'accrocha soudainement à lui. Il resta pétrifié un instant puis posa doucement ses longues mains sur les épaules du japonais qui tressautaient sous les sanglots.
Il se tourna vers Arnaud.
"Je vais le ramener."
Il se releva, entrainant le japonais avec lui. Le portant presque il prit la direction du chateau, ou tout du moins un coin à l'abri de la pluie du parc.
[le pont couvert du coté du chateau]