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 Tylendel Weaver ~6ème année

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Tylendel Weaver
6ème année ~ Gryffondor
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Tylendel Weaver


Nombre de messages : 17
Date d'inscription : 20/12/2011

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MessageSujet: Tylendel Weaver ~6ème année   Tylendel Weaver ~6ème année EmptyVen 23 Déc - 15:25

Nom : Weaver

Prénom : Tylendel

Surnom : Lendel

Age : 16 ans

Année d'étude : 6 ème

Physique :

Un adolescent passe partout, voilà comme on me décrit souvent. Je n’ai pas un physique hors du commun. D’apparence légèrement rebelle, je n’ai pas été spécialement rejeté par la nature. J’aime m’habillé de noir ou dans les tons foncé, portant les cheveux d’un noir corbeau sans reflet quelconque. Mon visage est plutôt rond, souvent bordé d’un joyeux sourire. Venons-en à mes yeux. Certainement la partie de mon corps que je préfère et dont je suis sans aucun doute le plus fier. Effectivement, j’ai les yeux vairons. L’œil gauche étant d’un bleu terne, à la limite du gris, l’autre ayant un bleu plus profond. Mes cheveux, normalement coiffée, recouvrent souvent ce dernier. Doté d’un regard curieux, je découvre le monde à ma façon et me fond très naturellement dans la population. Plutôt bien battit, j’observe le monde du haut de mon mètre soixante dix.


Caractère :

Nous ne pouvons pas, ou alors que très difficilement, nous juger nous-mêmes. Comment pourrions-nous définir notre propre caractère ? Je ne sais pas, mais je vais quand même tenter de le faire, ne serait-ce que pour vos beaux yeux.

« Paradoxal ». Si l’on devait choisir un seul mot pour me définir, c’est bel et bien ce mot qu’il faudrait utiliser. Comme chaque humain normalement constitué, j’ai un caractère propre à moi. D’humeur changeante, je suis une vraie girouette. On ne peut jamais vraiment savoir ce qui ce passe dans ma tête et je peu très bien m’énervé d’une minute à l’autre. Doté d’un caractère fort, je suis plus communément calme et posé. Réfléchis, je ne prend aucunes décisions à l’improviste et arrive à garder mon sang froid dans de nombreuses situations délicates. Jaloux et impulsif, je ne supporte pas que l’on touche à mon ou ma bien aimé(e) et je mettrait tout en œuvre pour rester le plus longtemps possible à ses côtés. Mon apparence un peu ‘rebelle’, ne va pas du tout avec ma façon de pensé. Je serait bien le dernier à me moquer de quelqu’un et être insolent. Etant quelqu’un de naturellement ouvert et extravertie, je n’ai aucune difficulté à aller vers les autres. Me voir énervé ? Cela reste très rare, presque inexistant. Avec moi il y a très peu de chance de se prendre la tête. Serviable ainsi que psychologue, je suis à l’écoute des autres et n’hésite pas aidé ses proches. Pour faire plus simple: une personne charmante, agréable à vivre et facile.

Du moins, c’est ce que l’ont dit moi. Après, c’est a vous de décidé ce que vous pensez de moi …

Histoire :

Mon histoire commence un certain jour de février. Le 29. Une tempête de neige faisait rage, me disait-on. Serait-ce la raison pour laquelle j’aime tellement la neige et le froid ? Je ne pourrais vous le dire. Mais soit. Né d’une mère squib – qui réussissait tant bien que mal, à cacher sa peine de ne pas avoir hérité des pouvoirs, en travaillant dans un magasin de mode- et d’un père moldut –kiné pour sa part- je ne pouvais connaître l’étendu de mes pouvoirs. Certes, il m’arrivait des choses bizarres, mais pas exceptionnelles. Du moins pas au point de m’y intéresser longtemps.

Mon enfance fut assez banale. J’étais un gamin gentil, agréable, actif mais pas trop. Mon quotidien fut rythmé par les câlins et les bisous. Mes parents s’aimaient. C’était le genre de couple que seul la mort pouvait séparer. Enfin, ce n’est pas le centre de notre histoire. Je vécu les cinq premières années de ma vie à Oxford. Lors de ma 6ème année, marquant aussi mon entrée en école primaire, mon père découvrit une offre d’emploie bien plus intéressante à Londres et décida, sur un coup de tête, de quitter son Oxford natal pour s’installer avec ma mère et moi dans la capitale anglaise. Etant encore plutôt jeune, cette nouvelle vie ne me déstabilisa pas le moins du monde. Au contraire. Je me sentais très bien dans cette nouvelle maison.

Mes parents m’inscrivirent dans une école publique dans laquelle je trouvais rapidement des amis. A mis chemin entre cancre et génie, je n’eu aucun mal à atteindre les résultats pour entrer au collège. Mais jamais le destin voulait que jamais je n’aille dans une école normale.

Le jour où je reçu cette lettre restera sans doute à jamais graver dans ma mémoire. Comme tous les jours, j’allais chercher le courrier. Encore fatigué de ma courte nuit, je n’ai pas fait attention à qui étaient destinés les lettres – de toute manière, ce n’était que des factures ou des pubs, pas de quoi intéresser un garçon de 11 ans. Mais ce fut un cri de surprise de ma mère qui me sorti de ma torpeur. J’eu à peine le temps de lever le regard que je me retrouvais avec ma mère à mon cou qui n’arrêtait pas de crier « je le savais ! je le savais ! je le savais ». Elle savait quoi ? Pourquoi je ne savais pas ? Je lui pris la lettre, qui visiblement s’adressait à moi, des mains et l’ouvrit – non sans avoir longuement admiré le sceau de cire. Pendant que je lisais, mes yeux s’écarquillèrent de plus en plus et je portais un regard d’incompréhension sur mes parents. Moi ? Sorcier ? Qu’est-ce que ça voulais dire ? Pourquoi ne m’en avait-on jamais parler ? Des centaines de questions fusèrent dans mon esprit, mais une question fut plus forte : n’était-ce pas une blague ou un malentendu ?

« C’est pas possible. Je ne peux pas être un …. Sorcier … »

Mon père souriait simplement tout en tentant de calmer ma mère qui, hystérique de bonheur, avait commencé à pleurer. Puis, peu à peu, alors qu’elle réussi à se calmer, elle commença à m’expliquer. Toute l’histoire sa vie qu’elle m’avait jusqu’alors cachée. Tout doucement, mon esprit commençait à assembler toutes les pièces. Ce fut donc pour cette raison, parce que j’étais sorcier, que je réussissais à faire des choses que les autres ne savaient pas faire ? Je pouvais tourner les pages de mon livre de math sans avoir à le toucher. Je pouvais faire repousser mes cheveux quand je considérais que le coiffeur avait mal fait son boulot. Souvent, quand j’étais énervé, quelques vases explosaient et des tableaux tombaient du mur. C’était donc parce que j’étais un sorcier ? Il n’y avait pas d’autres explications logiques.

Ainsi donc, en 1 mois, ma mère m’apprit tout ce que je devais savoir sur l’histoire de la magie –pour ne pas paraître trop débile et trop inculte en arrivant sur place. Le jour du départ fut assez émouvant, étant donné que je partais le cœur lourd et serrer par la peur de faire mes pas dans un monde qui n’était pas le mien.

Mais je fini par m’approprié de ce monde. Je m’épanoui. Je me découvris une certaine passion pour le quidditche, je passais pas mal de temps à étudier seul ou avec mes amis et je ne rentrais qu’à la fin de l’année. Des amis ? J’en avais pas mal. Mais les vrais amis pouvaient se compter sur les doigts d’une main. Enfin, j’aimais ce nouveau monde et j’entrais maintenant en 6ème année.


Signe particulier : yeux vairons et cicatrice sur le poignet droit.

Animal de compagnie : Exol, chat blanc et gris aux yeux verts.
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